On travaille pour trois raisons fondamentales : gagner sa vie, exister socialement et faire des choses qui nous intéressent.
Mais chacune de ces motivations a ses revers, poussant chacun tantôt à s’engager tantôt à fuir.
Mais chacune de ces motivations a son revers.
Gagner sa vie ?
Certains ont plutôt le sentiment de la perdre en travaillant.
Exister socialement ?
Certes, le travail apporte un statut et de la reconnaissance, permet de nouer des liens sociaux, mais génère aussi beaucoup de frustrations, car travailler c’est coopérer mais aussi se heurter aux autres avec tout ce que cela comporte de conflits larvés, de rancœurs et de ressentiments.
Enfin, travailler c’est vouloir s’accomplir dans certaines activités enrichissantes : soigner, enseigner, construire, réparer, cuisiner, écrire, plaider, etc. Mais pour une heure de bonheur combien de tâches ennuyeuses, barbantes, pénibles ?
Ces tensions entre aspirations fondamentales et réalité conduisent chacun d’entre nous à s’engager et se désengager : se passionner et se dégoûter, connaître des moments de plaisir, d’autres de mortels ennuis, se plonger dans des projets excitants ...
Alors, autant mettre toutes les chances de votre côté en réalisant un bilan de compétences et trouver la voie qui vous correspond réellement.
A très vite
Sandra
Merci à science humaine pour l'inspiration
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